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Trail
Par cdsf77930 Le 26/12/2023
Le 03 février 2024 et pour la troisième fois, le COSE vous propose de nous retrouver autour d'un évènement à la fois festif et sportif.
Pour le côté sportif : 2 circuits en pleine forêt :
- Une boucle de 11 km pour les marcheurs
- Une boucle de 15 km pour les coureurs.
Pas de classement, pas de chronométrage, juste l'occasion de partager et de finir par un moment festif : un super buffet à l'arrivée.
Nous vous attendons et serons très heureux de vous retrouver ou bien de faire connaissance.
Inscription sur Protaming ouverte !
Passez tous de très belles fêtes de fin d'année.
Pour le COSE/Mjo
Dark Trail 2020, un grand moment de convivialité
Première édition du Dark Trail : Parcours de course et de marche de nuit sur les terres de Cerny. Sans chronométrage ni classement.
Retrouvez des images et informations en visitant la page Facebook https://www.facebook.com/darktrail91/
Pour le week-end du 1er mai, 36 marcheurs et coureurs courageux se sont retrouvés à Erquy dans les côtes d’Armor pour marcher (12 et 32 kms) ou courir (14 et 33 kms)
2017 04 16 Trail à l'Assaut de St Romain en Auvergne
C'est la dernière chance pour corinne d'avoir une photo dans l'équipe !
La première à côté d'elle, est une certaine Adeline Roche, cousine d'un sculpteur bien connu (source peu fiable) et visiblement très reconnue sur le parcours Trail puisqu'elle représente la France aux championnat du monde .
Du coup elle avait plein de photographes autour d'elle !
Elle pèse 44 kg habillée avec ses pompes ! (mon poids !)
Je le sais car les organisateurs l'on fait monter sur la balance pour lui offrir son poids en eau gazeuse la marguerite ! (et moi en Mojito !!)
2017 04 02 Le Lièvre et la Tortue
En ce week-end du 11-12 mars, le COSE était en pleine forme et a réalisé de nombreux podiums.
Pendant ce temps, les courageux qui préparent "Entre Landes et Bruyères" en Bretagne ont arpenté les côtes de Champcueil sous un soleil printanier
Trail Nocturne du Lièvre et la Tortue - Boigneville
Beaux podiums samedi soir au Trail nocturne du Lièvre et la Tortue, organisé par Eric Pointeau
Triple podium Cose pour nos V2M
Podium VF1
Eric et ses bénévoles avaient préparé un magnifique repas. Unrégal pour les yeux et les papilles
Parcours magnifique
Des singles en veux-tu en voilà
Des descentes à faire faire des blocages à ceux qui ont le vertige... si si !
On monte, on descend, on s'accroche aux branche, on tombe (euh ! je tombe !)
Bref super organisation, balisage plus que parfait, beau temps, petit riz au lait à l'arrivée. En un mot : SUPER
Article de la République de Seine-et-Marne
Olive en photo et Corinne mise à l'honneur
L’UTMB qu’Est-ce que c’est ?
Non, ne rêvez pas…. je ne vais pas vous proposer de devenir un ultra-traileur aguerri en 2 ou 3 coups de cuillères à pot, je ne vais pas vous promettre que vous serez en 2017 parmi les 2400 heureux coureurs à venir à bout des 170 km de l’Ultra Tour du Mont Blanc… je vais simplement vous expliquer ce qu’est l’UTMB.
L’UTMB : c’est la « course de tous les superlatifs » 170km pour 10000 mètres de dénivelés positifs (et autant en négatif). 46 heures maximum pour parcourir ces sentiers…
Pour ceux qui ont un peu de mal à se représenter une telle orgie de verticalité, disons que cela correspond à l'ascension de quatre Mont-Blanc par sa voie normale. Cela revient à gravir 36 fois les 1665 marches de la Tour Eiffel ou 270 fois les 222 marches jusqu'au Sacré cœur à Paris.
Pour s’inscrire à l’UTMB, il faut avoir acquis un minimum de points en finissant d’autres courses. Et encore… même si vous avez acquis assez de points, étant donné que la course est en moyenne complète à 200%, un tirage au sort détermine les heureux gagnants de dossards !
17 Septembre - Impérial trail de Fontainebleau
Des cosiennes et cosiens ont franchi la ligne de départ sur l’Impérial Trail à Fontainebleau, pour certains sur le 25 kms et pour les autres, le 11 kms féminin. Le parcours est toujours aussi beau avec des singles, des rochers, mais toujours aussi mal balisé… Moralité, tout le monde s’est perdu à plusieurs reprises. Attaque de guêpes mais moral au beau fixe et ravito d’arrivée copieux.
Isabelle fait podium sur le 11km en terminant 3e dans la même minute que les 2 premières.
Corinne fait podium sur le 25km en terminant 2e fille - 24e au classement général ! Bravo
Stéphane termine en 14e position , 6e de sa catégorie
Mathieu termine en 71e position, 31e de sa catégorie
Trail des maquisard - 20 août 2016
Parcours 100% nature dans le Massif de Lorris (45) de la Forêt Domaniale d’Orléans.
La course principale « Les Maquisards » (23 km)
Le 15 km (Le Ravoir)
et le 6 km (Les Sources)
8 cosiens se sont lancés dans ce trail en forêt d'Orléans. Traversée de gué et de boue bien noire n'ont pas entamé leur enthousiasme.
Helen, Denis et Guillaume sont montés sur le podium.
ULTRA TRAIL MARIN de Vannes - 26 juin 2016
Des courageux sont venus parcourir les 10 ou 21km de la dourdanaise.
Des p'tites côtes sympas, des p'tits singles en forêt
Le Cose s'est encore illustré et Corinne n'a pas fait sa Corinne ! Ni Guillaume d'ailleurs !
Podium de Véro, Corinne, Denis et Guillaume
Trail des Trappistes - 21 mai 2016
Ecotrail Mars 2015 - Récit d'Eric L.
Ce récit décrit entre autres les préparatifs à la course de l’Ecotrail et l’épopée de ses 80km depuis la vallée de la Bièvre jusqu’au 1er étage de la tour Eiffel, point d’arrivée symbolique de cet ultra devenu un must au printemps.
A l’occasion de cette aventure humaine pleine de rebondissement (du suspens, toujours du suspens !), de fraternité et d’amitié (des pactes et des alliances comme à Kho Lanta !), je livre quelques réflexions sur ce chant des profondeurs qui m’a poussé à accepter ce pari insensé ainsi que sur le bonheur d’avoir vécu cette expérience si enrichissante.
Je vous invite donc à passer de l’autre côté du miroir et à revivre la course à travers les prismes de ma propre histoire et de ma propre perception des faits… Attention, ceux qui me connaissent savent que ce n’est pas toujours sans risque…
Récit d'Eric à déguster : ecotrail-paris2015-1.pdf (630.82 Ko)
14 juillet 2015 Trail de l'Annunziata à Pіаnоttоlі-Cаldаrеllо (Corse du Sud)
Nous étions en Corse depuis le 3 juillet et c'était la canicule (42° !)
La mer était belle et chaude (29° même pas rafaîchissante mais nous avons passé plus de 3 semaines à infuser dans l'eau !!!)
Cela fait plus de 17 ans que nous allons naviguer dans la baie de Figari et cette année on s'est dit... "Pourquoi qu'on ferait pas un p'tit trail par plus de 30° à l'ombre"
Après avoir passé plus de 10 jours à faire de la planche ou du kite, nous nous sommes inscrits au 4° trail de l'Annunziata.
Même pas peur... Enfin surtout Olivier. Il a tout fait à fond ! parcours rocailleux, descentes sur terrain instable plus de 500m dans le sable au bord de la mer. heuresement qu'il n'y avait que 11,6 km. En même temps le premier (un Corse) est arrivé en 48'45.
Moi j'ai marché dans toutes les côtes. J'avais, comment dire, l'impression de courrir avec ma planche sous les pieds... Planche plus course à pied ne font pas bon ménage.
Bref, de toute manière il était impossible de courrir car c'était des singles. et pour pouvoir courrir il eusse fallut partir devant !
En tout cas magnifique parcours (11,6km) sur le sentier des Bruzzi.
Olivier a courru tout le long. A doublé dans les côtes mais n'ayant pas l'habitude des descentes (pas beaucoup dans les champs à Perthes) il s'est fait reprendre à chaque fois...
Il fini tout de même 13° au scratch en 3° VM1 sur près de 200 participants. Il est même cité dans le journal (cf ci-dessous) où il est écrit qu'il doit se montrer "vigilant" !
Je termine pour ma part 108° en 6° VF1
Promis la prochaine fois je me mets un petit peu dans le rouge (si si Corinne !) et je ferai des efforts dans les côtes !
Voici le récit d'Alain à télécharger et quelques photos supplémentaires piquées sur le site du trail (on trouve toujours !!!)
trail-faverges-icebreaker.pdf (240.87 Ko)
Skyrace du Chaberton récit de Mathieu
Comme promis voila un petit récit de mon trail du 18 Juillet à Montgenèvre.
Je n'en menait pas large au départ de la Skyrace du Chaberton à 7 h du mat: au programme 37 km, 2800 m D+. Moi qui ne courrait que sur du plat...Mais cette aventure me trotte dans la tête depuis si longtemps alors maintenant c'est le moment de goûter à l'appel des sommets.
L'objectif : finir, sans me ruiner et pouvoir aller bosser le lundi matin sur mes 2 pattes !
Dés le départ de Montgenèvre c'est parti pour 1300 m D+ vers le sommet du Chaberton : une sorte de gros (très gros !!) caillou qui culmine à 3200 m.
Une belle montée dans un paysage minéral, lunaire, pas un arbre, juste de la caillasse et quelques 330 coureurs.
A 400 m du sommet je croise les premiers qui descendent déja pleine bille droit dans la pente. Même pas peur !! J'arrive au sommet après 2 heures de montée. La récompense est là : la barre des Ecrins au loin, ... 10 min de pause et c'est le moment tant redouté de la première vraie descente. Je viendrais à bout de ses 1200 m - en 1 H.
Attention aux chevilles, bon dieu que c'est physique. Mais ça se passe bien. En chemin nous croiserons un renard des montagne pas farouche puisqu'il s'approche à 2 m !
A peine arrivé dans la vallée me voila reparti pour une belle montée de 650 m D+ et qui me même au col Déserte en Italie. Là encore le spectacle est de toute beauté et la bonne humeur des coureurs est au beau fixe. Généralement quand on monte c'est pour redescendre après et c'est donc dans le lit d'un torrent de montagne à sec que nous redescendons du col Déserte.
Là encore gare aux chevilles ! Il vaut mieux avoir les yeux en face des trous. Cela fait déjà 5 H que je suis parti et je n'ai pas vu le temps passer. J'arrive au chalet des Acles unique ravitaillement sur la course au Km 22. Guillaume et Agnès ont eu la gentillesse de venir me voir et me pousser dans le dos pour repartir et finir la course. Encore merci ! La dernière montée est moins raide mais tout aussi longue: passage de 2 cols, course sur la crête jusqu'à la Tête de Fourneous. la encore il faut avaler 1000 m D+. Les jambes sont maintenant lourdes mais le moral toujours là. La dernière descente est hyper raide et directement tracée dans les pistes de ski et me voila revenu à Montgenèvre.
Je finis la course avec mes filles Marion et Adèle qui m'attendent sur le bord de la route. Il m'aura fallu 8H08 pour boucler le parcours (le premier a mis 3H57 !!!), heureux et content d'arriver à bon port sans bobo. J'ai beaucoup apprécié ce premier trail en montagne: l'esprit, l'organisation, la beauté du parcours. J'en ferai d'autres c'est certain !
Mon 1er 36 kms (Récit de Sylvaine)
J’avais promis, juré, craché de ne pas courir plus de 10-12 kms, après je m’ennuyais, blablabla…
Et puis, fin novembre, le lendemain de la Chouette et le Hibou, course de nuit de 18kms (en fait, 16 pour moi à cause de débalisage indélicat…), je rate la dernière marche de l’escalier et me voilà HS pour 2 mois. Entorse, pas de course à pied… Je ronge mon frein et commence à penser à faire un peu plus long dès que je serai remise. Fin janvier, me voilà de nouveau à courir et à peine 15 jours après ma reprise, épanchement de synovie du genou droit, plus de course à pied à nouveau…Bref, je marronne dans mon coin, cherche une solution, consulte, passe un arthroscanner, fais une infiltration, chausse des semelles magiques grâce à cette merveilleuse podologue de Chamarande et enfin, mi-avril, ouf, tout va mieux pour moi et j’emboîte le pas des trailers qui préparent le 36 kms.
Grâce à Lucie/Miss Garmin/ meneuse d’allure, me voilà à suivre les 4 entraînements hebdomadaires en mettant mes pas dans les siens pour préparer l’Ultramarin. Les premiers entraînements sont difficiles, la reprise est ardue mais je m’accroche. Ca râle sec à la maison, je suis tout le temps sur les chemins, on ne me voit plus mais je persiste et je commence à y arriver. Mon allure est régulière, mon cardio correct. Il me reste à gérer mon régime alimentaire (trop de fibres nuisent dès que je dépasse 1h30 de course)
Je questionne les autres trailers, je regarde sur internet, le site de L’UTMB devient ma bible…je me prépare comme si c’était un championnat du monde. J’ai envie que le jour J soit sans aucune mauvaise surprise autre que ma difficulté à terminer, si cela devait arriver. Bref, lorsque j’arrive à Vannes, je suis sereine. Je n’ai mangé aucune fibre, aucun fruit, aucun légume depuis 5 jours. Je suis d’ailleurs bien malheureuse et je ne rêve que d’abricots, haricots verts, cerises…
Tous les trailers sont là au camping quand nous arrivons. Eric Pointeau nous offre du riz au lait, ah, ce fameux riz au lait, j’en connais qui s’en souviendront encore longtemps et qui regretteront un peu de s’être laissé tenté, mais ceci est une autre histoire.
J’aime bien cette ambiance de préparatifs, mi studieux-mi rigolards. Carole qui a tout bien préparé en amont cherche à organiser les voitures. Le départ étant situé à 12 kms de l’arrivée, il faut un peu de logistique pour caler tout ça, mais tout va bien. Max, Javier et Sébastien font supporters/chauffeurs/photographes. Ils sont partout, récupèrent les poches à eau des unes, véhiculent les trailers du 56 kms jusqu’à Sarzeau, nous encouragent et nous mitraillent à l’appareil photo.
Nous avions décidé de courir ensemble avec Marie-Jo et Lucie. Ghislaine était toujours un peu devant nous aux entraînements et au coup de pistolet, là voilà partie, un peu devant. Nous laissons partir le gros de la troupe. Marie-Jo perd son paquetage de nourriture au 1er virage, ça la fait marrer, Lucie et moi avons les poches bourrées de pâtes de coing, on va pouvoir la ravitailler. On a le temps de regarder les harnachements des uns et des autres, les nu-têtes, ceux aux shorts trop courts qui vont avoir des échauffements, ceux qui marchent déjà au 5ème km. Dans notre partie de peloton, la foule est hétéroclite, plus de filles que de garçons.
Lucie nous fait meneuse d’allure et tout se passe bien. Il fait très chaud, et on passe notre temps à boire. On papote déjà nettement moins qu’aux entraînements. On est sérieuses. Les paysages sont sympas, les chemins ressemblent à nos terrains de jeux. On n’est pas dépaysées. Il y a sans arrêt des faux plats montants. On est déjà au 13ème km, à l’unique ravito du gymnase de Séné. On boit un coca, Marie-Jo rafle les pâtes de fruits et les biscuits et on repart sans tarder.
Nous voilà plus près du bord de mer, on passe par des plages et on marche dans le sable. Il n’y a pas beaucoup de vent, on a de plus en plus chaud. On finit par rattraper Ghislaine au 20ème qui a un coup de chaud et qui a décidé de ralentir. Marie-Jo se propose de l’accompagner et nous nous séparons. Lucie et moi partons devant et Ghislaine et Marie-Jo continuent un peu derrière nous. On court sur un sentier séparé de la mer par une haie, il n’y a pas d’air. Quand on passe près d’un champ, la chaleur de la terre monte et on sue à grosses gouttes.
On trottine toujours et on double, on double, on double de beaux gaillards bien bâtis. Un vrai boost pour l’ego. On a l’impression d’être des championnes du monde. Tout le monde marche autour de nous. On double un coureur couché dans l’herbe pris d’une crampe. Heureusement pour nous, des promeneurs se chargent de l’aider à faire passer sa crampe. Bien qu’on soit solidaires des autres coureurs, on n’a aucune envie de s’arrêter pour l’aider, prises de peur de ne plus avoir de jus pour repartir.
A 3h15, Lucie me dit « Ca y est, on entre dans l’inconnu, on n’a jamais couru aussi longtemps ». Il reste encore environ 10 kms. Et toujours plus de faux plats et de sentiers sans air. Des passants offrent de l’eau et on s’asperge plusieurs fois la tête pour se rafraichir. L’eau des poches à eau est tiédasse. Heureusement, qu’on n’a pas mis du St Yorre, hein Eric L… ni de jus de banane salée d’ailleurs J !!
L’inconnu n’est finalement pas si difficile. On trottine toujours, on marche parfois sur des fins de faux plats, mais jamais plus d’une minute. Je flotte sans penser à rien, mon cerveau est sur off, un pas devant l’autre, c’est tout ce à quoi je pense.
Nous voilà au fameux pont, Séb a dit à Lucie : « au pont, vous serez pratiquement arrivées » et au loin les 4 arches de l’arrivée. Je commence à fatiguer et Lucie me double et m’encourage à la suivre. Je baisse la tête et suis ses pas, le chemin paraît interminable, le long du Concarneau. Les gens en ville prennent parfois toute la place sur les trottoirs, on doit un peu zigzaguer. Finalement, on passe 1, puis 2, puis 3, puis 4 arches avant de s’arrêter, le souffle court. Yes, 4h32 pour mon premier 36 kms. On reprend notre souffle. Même pas mal…
Ravito sympa, on retrouve tout le COSE en train de manger et de se reposer, on apprend les soucis gastriques de Renato, le coup de chaud de Didier, la crampe au mollet de Jean-Marie, Corinne qui a détesté porter un sac et tous les autres heureux d’avoir fini.
Ghislaine et Marie-Jo arrivent également et Ghislaine jure que ce sera sa dernière longue distance. Et l’année prochaine ? tu ne le refais pas avec nous ??
On pense à Fabrice et Laurent qui vont s’élancer à 16h00 alors qu’il fait une chaleur torride et à Fabienne et Pascal qui sont sur la marche nordique pour 27 kms.
Je pense également aux fruits qui m’attendent au camping et que je vais déguster avec Helen devant un thé à notre retour.
Merci les coachs pour les conseils avisés, la sollicitude, les encouragements et la rigueur qui permet de doubler Mister Univers au 27ème Km. Merci les gens du COSE d’être bienveillants et de m’avoir fait grandir au point de changer d’avis…
Merci Lucie/Garmin d’avoir une allure métronomique et un moral d’acier, merci Marie-Jo et Ghislaine d’avoir été mes comparses d’entrainement.
Je resigne pour l’an prochain, même sous le crachin breton.
VAUHALAN - CASTOR FOU 2015 (récit de Stephane)
la course qu'on aime détester, la course qu'on n'a pas envie de faire, la course qui fait peur à tout le monde, mais la course la plus incontournable et la plus atypique des courses vertes de l'Essonne.
DENIS qui cartonne, c'est pas une surprise; tranquille le pépère, il est déjà douché quand on arrive. Mais loin derrière les Mercedes, il y'a une autre course avec ses belles surprises.
Dans cette autre course, les outsiders battent les favoris. Spectacle garanti.
Lorsque Corinne m'a annoncé qu'elle avait décidé de participer à la course la + difficile du Challenge Vert, j'ai très vite envisagé de m'y présenter pour ma sortie longue du week-end.
Les Sangliers racontés par Virginie
Lien vers l'album photos de la course des Sanglers 2015
5ème édition pour moi !
Ok ok j'ai deux ans de Cose derrière moi mais 5 années de plus ....
Allez soyons fou je décide que je le ferai en moins d'une heure même 59´ ça m'irait très bien (ben oui quelque part l'Ardenay c'est notre terrain de jeu)
Mon binôme cette année ; Valérie déjà on est sûre de rigoler et ça commence dès le départ ... On essaye de se mettre devant (peut être que les cadors nous pousseront sur 11 km...) mais dignes de notre devise "Cose toujours" on cose déjà et on démarre au 1er coup de feu ... Avec la goélette !
Ouf on est a cerny pas de disqualification.
2ème coup de feu on démarre plutôt rapidement mais on est bien, 5'34 on file droit vers la montée des concasseurs ...
Allez on y va Valérie la dernière fois on l'a monté 5 fois d'affilées, on double, et certains marchent déjà ! Mais bon, arrivées en haut Bing coup de mou allez on s'arrête 10' pas plus "toute façon Valérie y a que 4 mecs qui nous ont doublés et tu la maîtrises la descente ? Alors on fonce" et gagné ! on laisse les garçons derrière nous, trop bon les descentes !
On fonce déjà vers la 2ème côte : zut je ne me souviens plus si il y en a 2 ou 3 côtes dans le doute je dis rien.... Fichue côte allez on marche vite les 30 derniers mètres chut personne du Cose à l'horizon.
1er ravito il faut chaud ... Je décide de trinquer avec Valérie et hop je repars ... Sur le 21 km soyons fou ... et nous voilà parties dans notre 1er fou rire, et qui a dit que les coureurs étaient super sérieux (bon ok on l'est aux entraînements) et la j'entends un : on est a 29'. Oups on est pas bon... 5km en 29' on fera jamais moins d'une heure... Puis le 1er va pas tarder à franchir la ligne d'arrivée.
Et c'est parti pour de longues lignes droites à travers les champs de colza ; mission ne pas s'embrocher sur les piquets de rubalise, ne pas se tordre les chevilles et au bout la délivrance le chemin du retour... Allez 8km je me sens bien il fait bon, j'adore ses sous-bois et la pluie a bien séchée depuis ces 3 derniers jours.
Valérie commence à vouloir accélérer.... Je ne lui dis rien car on est sur la fin alors je lui balance un "si tu veux lâche moi et fonce" bien sur hors de question pour elle, on a commencé ensemble, on finira ensemble et moi qui lui ai répété maintes et une fois "tu vas trop vite" ou "trop lentement" durant les séances du mercredi ou "tu vas y arriver" quand elle doutait, la demoiselle me sort "tu veux battre ton dernier temps ? Et ben on y va !
On trouve même le temps de se faire "belles" pour la dernières photo à l'orée du bois.Et bien sûr on y est allé en accélérant : 5'48 puis 5'33, on entend les clameurs du gymnase, 5'21, on tient le bon bout, Isa est là puis Renato nous encourage, et les Cosiens sont là pour crier nos prénoms allez Valérie on lâche rien on se tape notre tour de stade 4'14 le dernier km.
Le chrono : 1h04 et la 1ère félicitations le chrono une connaissance ça fait chaud au cœur mais bon encore 4' au dessus. Allez c'est pour l'an prochain à moins que Caro réussisse à nous embarquer sur le sanglier.
À suivre !
Virginie
Les Arcades de Milly 29 mars 2015
X trem Buth'trail by night 2015 - Buthiers - 4° édition
La nuit tous les coureurs sont gris (Par coach Guillaume)
Il y a quelques mois, nous devisions sur fond de gainages autour des prochaines épreuves sportives. Stéphane nous présente cette course : il en parle avec un vibrato communicatif. De plus Eric L., notre référent trail, l’a déjà faite avec bonheur. Elle arrive bien positionnée dans le calendrier : j’ai le choix entre le semi de Chartres ou les 15 km de Buthiers. Je dois me sentir un peu feignant, j’opte pour la forêt.
Stéphane nous organise, une semaine avant la compétition, une reconnaissance du parcours qui est déjà balisé(les organisateurs de la base de loisirs qui accueille l’épreuve sont à fond !). Nous voilà partis tous les 3 avec Matthieu. Au bout de 500m, on se dit que c’est un peu rock n’ roll comme tracé avec des rochers partout à slalomer, escalader,
monter, descendre et recommencer. Au bout de 5 km après notre 10ème côte, on se dit que c’est un parcours pour traileurs extrêmement névrosés. Finalement, on prend le rythme et les kilomètres suivants sont plus roulants mais toujours avec cette sensation de faire du manège en grand huit. 1H 45’ plus tard, retour et débriefing. Le semi de
Chartres que je regrette déjà, et le sentiment partagé que, de nuit, on va bien se fendre la poire (au sens propre) !
Evry Urban Trail - 24 mars 2015
Récit d'Irène
J’ai été très surprise du temps passé sur ce trail, j’étais un peu angoissée lors du départ vu ma condition d’athlète (Piou piou), j’ai eu un peu du mal au niveau des marches de la Gare Evry bourg, mais avec le soutien de Cécilia et du super coach Laurent, j’ai terminé cette course en 1h38. Je pensai l’effectuer en deux heures, que du bonheur pour cette première. Merci au Club.
Récit du Trail l'Origole du 6 décembre 2014
Récit du Trail de l'Origole du 6 décembre 2014 (lien vers le site de l'Origole) écrit par Eric L.
Régalez-vous !
Récit à télécharger (180.62 Ko)